Les Cahiers de la Rémunération Globale

Le Plan Senior doit permettre de prolonger l’activité des salariés dans des conditions d’efficacité réelle pour l’entreprise. Les exigences définies par la réglementation organisent le cadre incitatif pour passer de l’intention à la mise en oeuvre.

Mais au-delà de sa réussite au sein de chaque entreprise, le Plan Senior est, de façon plus générale, à la base de l’équilibre de nos systèmes de  protection sociale et du système de retraite en particulier.  

Mots- clé : Plan Senior, COR, Retraite, GPEC, CET, Cumul emploi retraite, 

Lire l’article Plan Senior

NB : Consulter le Programme de la Matinée d’Echange que nous organisons le 22 septembre 2009 (bulletin d’inscription)

Au sommaire :

- Le rapport Cotis

- Epargne Retraite et Epargne Longue

- Epargne Salariale et Actionnariat Salarié

- Les administrateurs salariés et la gouvernance d’entreprise

Consulter La Lettre

Au sommaire :

- Faut-il arbitrer les avoirs détenus en actions ?

- L’efficacité de l’Epargne Salariale,

- L’intéressement a 50 ans,

- La participation dorénavant disponible. 

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Au sommaire :

- Quel sens donner à l’Epargne Salariale ?

- La loi en faveur des revenus du travail,

- Le Compte Epargne Temps,

- La rémunération des CCB. 

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Au sommaire :

- Face à la crise,

- Les nouveaux projets de lois sur l’Epargne Salariale,

- La semaine de l’Epargne Solidaire.

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 La Tribune 9 septembre 2008

Pour équilibrer les comptes sociaux, le gouvernement propose de nouvelles contributions taxant l’épargne ou réduisant les avantages accordés à l’épargne salariale (notamment).

Mais l’équilibre à long terme de notre système de protection sociale repose sur l’amélioration de son efficacité plus que par un accroissement de ses ressources.

Quant à la création d’une nouvelle taxe sur les dispositifs d’Epargne Salariale, elle brouille la lisibilité des incitations qui semblaient devoir accompagner leur développement notamment dans les PME et risque surtout de diminuer le recours des entreprises à ces formes de rémunération, réduisant du même coup la “manne” des ressources attendues.

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Au sommaire :

- L’actionnariat salarié,

- Déblocage exceptionnel 2008,

- Les fonds solidaires dans les PEE.

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La Tribune de Lyon 29 mai 2008

Le gouvernement annonce des mesures fiscales en faveur du développement de l’intéressement, notamment dans les PME, au moyen d’un crédit d’impôt.

Pour autant, il ne faut pas confondre intéressement et rémunération classique.

L’intéressement doit demeurer un dispositif aléatoire de partage de l’amélioration des résultats ou de la performance de l’entreprise. Pour sa part, la rémunération classique se caractérise par sa régularité et doit permettre au salarié de faire face en premier lieu à ses besoins habituels de consommation.

Libérer l’épargne salariale par des déblocages exceptionnels n’est pas de nature à résoudre le problème du pouvoir d’achat.

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mots clé : épargne salariale, intéressement, participation, rémunération, pouvoir d’achat, avantages fiscaux et sociaux.

La Tribune 24 avril 2008

Le Compte Epargne Temps (CET) est évoqué pour la résolution de nombreux problèmes. Il est mis à contribution pour “gagner plus en travaillant plus”, notamment avec les assoupplissements apportés par sa “monétisation”. Mais le CET accompagne aussi l’évolution des régimes de retraite spéciaux que ce soit à la RATP ou la SNCF. Certains voient en lui une source particulière d’alimentation du PERCO.

Finalement à quoi sert encore le Compte Epargne Temps ?

Cet article tente de replacer le Compte Epargne Temps dans les finalités propres que l’entreprise peut (et doit) lui associer, avant d’en faire un avantage social.

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Mots clé : Compte Epargne Temps, CET, monétisation, monératisation, reforme des retraites, RATP, SNCF, gestion des seniors, PERCO

Les Cahiers de la Rémunération Globale - avril 2008 -

Interview de Roland BEC

Dans le cadre des négociations qu’elles ont ouvertes à la faveur des lois récentes, les entreprises semblent s’intéresser à nouveau au Compte Epargne Temps. Ces lois offrent certaines opportunités pour reconsidérer l’organisation du travail dans laquelle la CET a son rôle à jouer.

Dans la mesure où l’activité de l’entreprise le justifie, le CET permet d’accroître le temps de travail des salariés qui le souhaitent. C’est la condition de base de l’efficacité du dispositif.

Sur cette base, salariés et entreprises peuvent envisager des utilisations multiples des droits épargnés (le financement de congés, l’alimentation du PERCO, mais plus encore la gestion des fins de carrière).  La gestion à long terme de cette dette sociale peut aujourd’hui être maîtrisée et ne doit plus être considérée avec la crainte qui jusqu’ici accompagnait le CET.

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Mots Clés : 35 heures, Loi TEPA, Heures supplémentaires, Aménagement du temps de travail, Epargne Temps, CET, PERCO, Fin de carrière, Monétisation,  Seniors.